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The Stigmata of St. Francis Les Stigmates de S. Francois Las Llagas de San Francisco

9/17/2016

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September 17: The Stigmata of Saint Francis (†1224)Saint Bonaventure, biographer of Saint Francis of Assisi, wrote that two years before his holy death he had been praying on Mount Alverno in a solitary retreat, where he had gone to fast for forty days in honor of the Archangel Michael. No one ever meditated more than Francis on the Passion of his Lord. During his retreat he beheld in vision a six-winged Seraph attached to a cross, and received at the same time a painful wound of the heart, which seemed to transpierce it. When the vision ended his own hands and feet bore the marks of the angelic crucifixion which he had seen in the vision. He understood by his vision that the soul must come to resemble Christ by the ardors of its interior fire, rather than by any physical, exterior means. We reproduce here a meditation of the saintly 19th century Abbot, Dom Guéranger of Solemnes in France:
The Feast of the Stigmata of Saint Francis, whom we will soon honor again on his feast of October 4th, is not only to glorify a Saint; it commemorates and signifies something which goes beyond the life of any single man, even one of the greatest of the Church. The God-Man never ceases to live on in His Church, and the reproduction of His own mysteries in this Spouse whom He wants to be similar to Himself, is the explanation of history.
In the thirteenth century it seemed that charity, whose divine precept many no longer heeded, concentrated in a few souls the fires which had once sufficed to inflame multitudes. Sanctity shone as brilliantly as ever, but the hour for the cooling of the brazier had struck for the peoples. The Church itself says so today in its liturgy, at the Collect: Lord Jesus Christ, when the world was growing cold, You reproduced the sacred marks of Your passion in the body of the most blessed Francis, in order that Your love might also set our hearts afire.' The Spouse of Christ had already begun to experience the long series of social defections among the nations, with their denials, treasons, derision, slaps, spittings in the very praetorium, all of which conclude in the legalized separation of society from its Author. The era of the Passion is advanced; the exaltation of the Holy Cross, which for centuries was triumphant in the eyes of the nations, acquires in the sight of heaven, as the Angels look down upon it, the aspect of an ever closer resemblance with the Spouse to the sufferings of her crucified Beloved.
Saint Francis, loved today by all who know of him — and few there are who do not — was like precious marble placed before an expert sculptor. The Holy Spirit chose the flesh of the seraph of Assisi to express His divine thought, thus manifesting to the world the very specific direction He intends to give to souls thereafter. This stigmatization offers a first example, a complete image, of the new labor the divine Spirit is meditating — total union, on the very Cross of Christ itself, of the mystical Body with the divine Head. Francis is the one honored by this primacy of choice; but after him the sacred sign will be received by others, who also personify the Church. From this time on, the Stigmata of the Lord Jesus will be at all times visible, here and there on this earth.
L'Année liturgique, by Dom Prosper Guéranger (Mame et Fils: Tours, 1919), The Time after Pentecost V, Vol. 14, translation O.D.M. http://www.magnificat.ca/cal/en/saints/the_stigmata_of_saint_franci... With permission.
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17 Septembre: Les Stigmates de saint François d'Assise (1224)Deux ans avant sa mort, saint François s'était retiré dans la Toscane avec cinq de ses Frères, sur le mont Alverne, afin d'y célébrer l'Assomption de la Très Sainte Vierge et préparer la fête de l'archange saint Michel par quarante jours de jeûne.
C'était aux environs de la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, François priait les bras étendus dans l'attente de l'aube, agenouillé devant sa cellule. «O Seigneur Jésus-Christ, disait-il, accorde-moi deux grâces avant que je meure. Autant que cela est possible, que dans mon âme et aussi dans mon corps, je puisse éprouver les souffrances que Toi, Tu as dû subir dans Ta cruelle Passion, et ressentir cet amour démesuré qui T'a conduit, Toi, le Fils de Dieu, à souffrir tant de peines pour nous, misérables pécheurs!»
Tandis qu'il contemplait avec grand recueillement les souffrances du Sauveur, voici qu'il vit descendre du ciel un séraphin sous la forme d'un homme crucifié, attaché à une croix. Cet esprit céleste portait six ailes de feu dont deux s'élevaient au-dessus de sa tête, deux s'étendaient horizontalement, tandis que deux autres se déployaient pour voler et les deux dernières recouvraient tout le corps. Devant cet étrange spectacle, l'âme de François éprouva une joie mêlée de douleur. Le séraphin s'approcha de lui et cinq rayons de lumière et de feu jaillirent des cinq plaies de l'ange crucifié pour venir frapper le côté, les deux mains et les deux pieds du Saint, y imprimant pour toujours la trace des sacrés stigmates de Notre-Seigneur.
La mystérieuse apparition disparut aussitôt, laissant le pauvre d'Assise en proie à d'inexprimables souffrances. Son côté droit laissait paraître une large plaie pourpre dont le sang sortait avec une telle abondance que ses habits en étaient tout imprégnés. Les têtes des clous apparaissaient au-dessus des mains ainsi qu'au-dessus des pieds; leurs pointes étaient repliées de l'autre côté et enfoncées dans la chair.
Saint Bonaventure qui a écrit la vie de saint François une trentaine d'années après sa mort, affirme que ceux qui virent et touchèrent ces stigmates constatèrent que les clous étaient miraculeusement formés de sa chair et tellement adhérants que lorsqu'on les pressait d'un côté, ils avançaient tout d'une pièce de l'autre. Ces clous se trouvaient si bien unis à la chair et à la peau de saint François que même après sa mort, on essaya vainement de les en arracher. Des milliers de témoins oculaires ont contemplé les fascinantes empreintes pendant la vie et après la mort du grand dévot de la Passion de Jésus.
Attentif à tenir ses stigmates cachées, saint François couvrait ses mains et marchait chaussé. Il ne put cependant les dissimuler longtemps, car il lui devint trop douloureux de poser la plante des pieds par terre, aussi devait-il recourir malgré lui à la continuelle assistance de ses frères. Dieu qui pour la première fois, décorait un homme des stigmates de Son Fils unique, voulut manifester leur origine céleste en accordant quantités de miracles par leur vertu surnaturelle et divine.
Le pape Benoît XI voulut honorer par un anniversaire solennel et un office public, cette grâce qui n'avait jamais été accordée auparavant à la sainte Eglise. Le souverain pontife Sixte V ordonna d'insérer, dans le martyrologe romain, la mémoire des Stigmates de saint François, au 17 septembre. Le pape Paul V étendit cette fête à l'Eglise universelle dans le but d'éveiller l'amour de Jésus crucifié dans tous les coeurs.
Résumé O.D.M. http://www.magnificat.ca/cal/fr/saints/les_stigmates_de_saint_franc... Avec permission.
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El 17 de septiembre: La Impresión de las Llagas de San Francisco (1224)El año 1224, después de renunciar San Francisco el generalato y haber admirado al mundo con sus virtudes y milagros, se retiró al monte Alberna, donde pasó su cuaresma de San Miguel. Una mañana, en Septiembre, hallándose en oración, se sintió tan abrasado en incendios del divino amor y con deseos de imitará Jesús crucificado, que de repente vio bajar de lo más alto del Cielo un serafín en figura de Cristo crucificado, que en rapidísimo vuelo vino a dispararse sobre él, y después de la visión dejó en su corazón una impresión maravillosa, y al mismo tiempo en el cuerpo las misteriosas llagas en los pies, manos y en el costado. Ocultó San Francisco esta maravilla por algún tiempo; pero después hizo Dios que las manifestase, para su mayor gloria, con varios milagros. Así lo confirma nuestra Santa Madre la Iglesia, al haber autorizado Oficio y Misa propios para conmemorar el milagro de la Impresión de las Llagas de Jesucristo en el cuerpo de San Francisco.
http://www.magnificat.ca/cal/es/santoral/la_impresion_de_las_llagas... Con el permiso.
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